Monsieur ! J'ai ouvert vos livres le jour où maman est morte. Vous avez surgi dans la douleur, vous avez brillé dans ma nuit d'angoisse. Maman était morte, mais vos pages ont creusé en moi le sentiment de la revanche : la mort n'était pas toute puissante. Dans l'obstination de votre écriture, je pouvais puiser de nouvelles forces. Je vous ai aimé comme si je vous connaissais. Merci infiniment, monsieur.