Réplique 0595 Par Claudine Bloch -Tu penses trop au monde. - Et toi, pas assez. - C’est parce que j’ai peur d’être un épouvantail dans la vie, plantée dans le désert, tournant à tous les vents, occupée à défendre des opinions que je n’ai jamais pensées par moi-même. Jean-Marie Piemme