Hé, la classe de troisième ! C’est à vous que je parle. Savez-vous au moins que vous êtes monstrueusement bêtes ? Vous êtes repus, épais, vos bouches puent la suffisance. Croiser tous les jours des gens comme vous, c’est une souffrance ! Ou alors qu'on me donne une hache pour vous fendre la gueule, et que je puisse y déposer une goutte d'intelligence.